Palais des Monstres

Les petiots ont repris leur forme la plus naturelle possible, n'abordant plus qu'une écaille au niveau de leur sternum. Pourtant, ils n'ont jamais été vu sur Onogoro sous cette apparence, sauf par une créature, ils ne présente pas simplement les queues des Kitsunes mais également les oreilles, des griffes, des crocs et les pupilles pupilles fendues. Ils ont rapidement compris qu'aborder ce physique est bien plus bénéfique pour eux au sein des monstres. Pour tout dire chacun est vêtu de son état le plus pure du Kitsune en ayant activé le sceau dit de l'animal. Pour eux il est bien plus puissante dans l'essence, en restant sous celui-ci ils ont tout simplement une constitution de Yokaï. Bien sûr le fait de l'avoir activé leur a valu une nouvelle menace vu qu'ils ont l'interdiction de pouvoir user de chakra. Fort heureusement ils ne sont plus sous la garde de ce général qui a poussé deux des cinq à foncer le pantalon. Ici ça a été plus une réprimande qu'autre chose. Ça pourrait paraître bien mince, mais que risquent-ils vraiment face à de simple adolescents ? Certes ils sont venus à bout de certaines créatures de leurs rangs mais apparemment celles-ci n'étaient rien de plus que de la chaire à canon. Si jusqu'ici certain des démons avaient pu sentir en eux une part d'humain, avec cette technique les enfants ne portaient plus du tout cette odeur sur eux. Rendant encore plus curieux les monstres.

La ribambelle est plutôt bien traitée, contrairement à ce qu'ils auraient pu croire en se basant sur ce qu'ils avaient toujours entendu d'eux. Si jusqu'ici ils ne les avaient vu que comme des monstres bestiaux, ils sont bel et bien obligés de se rendre à l'évidence sur le fait que hormis le but il y a très peu de choses qui séparent l'humain du monstre. Enfin, ce n'est pas vrai pour tous, certain sont tout simplement stupides et bon à rien hormis tenter de dévorer de la chaire ou tout simplement frapper dedans par plaisir. Mais ce ne sont pas les seuls, certain des monstres sont raffinés et étrangement très proche de ce qu'ils ont toujours connus. Pour preuve, ils ont été pris en mains afin de les remettre sur pied le plus rapidement possible. Les quintuplés sont toujours portés par cette haine du monstre mais elle est à présent contrebalancée par autre chose. Ils ne sont pas que bestiaux … Certes, ils écrasent l'homme, prenant ce qui lui appartient mais en même temps ils peuvent être si avenant. C'est Tsuyu qui a trouvé les mots justes sur ce sentiment.

Tsuyu : Ils agissent comme si l'homme n'est qu'une fourmi. Ne portant son attention que sur ce qui l'intéresse, et l'homme n'est fait pas partie.

Le bicolore avait lâché ces mots le premier soir dans la chambre qu'ils partagent encore aujourd'hui. Richement décorée, certes peut-être parfois de mauvais goût mais tout de même confortable. Bien que prisonniers, les quintuplés ont plus l'impression d'être des invités de marque.
La chambre qu'ils occupent est on ne peut plus surveillée pour qu'ils ne puissent pas s'échapper. Ils ne s'y seraient jamais attendu mais ils possèdent des fenêtres donnant sur une cour intérieur. Celles-ci sont bien sur on ne peut plus surveillées afin de s'assurer que la ribambelle ne prenne pas la poudre d'escampette. La porte, verrouillée, est elle aussi sous bonne garde. Étrangement jusqu’ici on ne les a pas trop emmerder, bien au contraire, les laissant plutôt tranquille le temps de récupérer. Une fois les plaies pansées, ils n'ont tout simplement plus vu un seul visage hormis celui leurs apportant à manger.
Les enfants ont bien tenté d'en savoir plus mais jamais personne ne leurs a répondu. Montrant que bien qu'ils soient très bien accueillit dans dans draps de soies ils n'en restent cependant pas moins que des prisonniers.

PV & Chakra:

Cette matinée a été plus mouvementée, pour tout dire après le petit-déjeuné ils n'ont plus eu une minutes à eux. Une escouade de dix monstres sont venus les chercher pour les conduire vers ce qui semble être à une salle de teste chacun. Vide de monstre cependant. À peine entré dedans que la porte dans leurs dos se referme. Pas trop rassuré de se retrouver seul et non en compagnie de leurs frères. Mine de rien c'est pas mal intimidant de se retrouver dans une salle toute blanche munie de quelques machines. Lumière blafarde pour éclairer le tout. Les salles doivent faire environ une dizaine de mètre au niveau de chaque mur pour une hauteur de plus ou moins quatre. Hormis celui du fond muni d'une vitre tintée tous sont sans aucune décoration. Ils restent une bonne dizaine de secondes à regarder tout autour d'eux sans savoir quoi faire. Chacun regarde tout autour, cherchant à comprendre ce qui va se passer bien que chacun à une idée déjà bien arrêtée sur le sujet. Ils sont tout simplement là pour des testes et rien de plus. Mais qui va diriger tout ceci ? Nagomi lui s'est déjà fait une idée sur l'agencement de ces salles. C'est le dernier à être rentré dans l'une de celles-ci. Un couloir en forme de cercle. Ce qui laisse aisément imaginer que le miroir teinté doit être une salle pentagone, ou à plus de côtés, il ne sait pas exactement s'il a été jusqu'au bout de la totalité des portes. Ses pensées étaient trop prises par ce qui allait se passer pour chercher à prendre des mesures approximative.

Moekasu : Bonjour jeunes humains. Je me présente, je suis Moekasu et il m'a été demandé de … hum comment pourrais-je le dire dans votre langage … comprendre n'est pas le mot juste mais je pense qu'il devrait vous parler. Je suis donc ici pour comprendre un peu mieux ce d'on vous êtes fait. Je ne vous ferais bien sûr aucune douleur. la voix teintée d'un fort accent jamais entendu sort de haut parleurs que les quintuplés n'ont pas encore vu jusque là, leur attention portée sur beaucoup trop de chose, centrale sur le haut des vitres Je vais vous demander de quitter cette forme que vous prenez depuis votre arrivée. Elle ne ferait que mentir à nos testes. les ados serrent les dents, dommage, ils pensaient être mieux vu sous ce sceau, chacun le désactive plus ou moins en même temps revêtant une nouvelle fois cette apparence qui est naturelle chez eux Je vous dis merci … มอง ดี ! un silence un peu gêné prend place, interrompu par un grésillement montrant que Moekasu vient de désactiver le micro, un nouveau son un peu désagréable se fait entendre J'aimerais que vous vous présentiez. Si je ne me trompe pas, c'est quelque chose de normal chez vous non ? voyant que personne ne prend la parole Eichi peut-être tu voudrais débuter ?

Aki : Et pourquoi on voudrait se présenter à un monstre ?! les quintuplés sont étonnés de remarquer qu'ils peuvent entendre eux aussi les paroles du blondinet

Moekasu : Aki si je me fait pas défaut. Je suis désolé d'entendre un parole comme ça. Mais je peux comprendre. Comme je le dis un peu plus avant, j'ai … Enfin, on ne veut pas vous faire du mal, juste comprendre.

Nagomi : Vous voulez nous étudier pour mieux tuer les humains ! C'est tout !

Moekasu : Sauf faute de ma vision, vous êtes pas tout ce qu'il est de plus humain. Je mettrais ma corne à couper que vous êtes un mélange d'humain et de สุนัขจิ้งจอก. voyant le visage interrogatif de enfant il se rattrape tout de suite Hum .. Je ne connais pas le mot dans votre parler. Vous avez en vous le sang de อินาริ, la femelle renard. il faut quelque seconde pour que les ados comprennent de qui veut parler ce monstre

Eichi : Inari ?

Moekasu : Je peux as dire si c'est comme ça que elle est connue dans votre langue. Mais je pense que ça doit être ça. Vous êtes des enfants renards. Ce qui fait de vous tous cinq une partie de humain et des nôtres.

Haru : On n'a rien à voir avec vous !

Moekasu :Pourtant vous avez autant d'humain que de โยไค … Vous êtes des humain … Je suis désolé, je ne peux pas du tout dire comment vous dites. Mais le sang de vos parents est du même endroit que le miens et que celui de tout plein de ce que vous dites monstre. la quintuplés bugent pendant quelques secondes avant de comprendre

Tsuyu : Tu dois vouloir dire Yokaï. Si c'est le cas, avoir du sang venant du même endroit ne fait pas de nous des monstres. On n’extermine pas et encore moins par plaisir !

Moekasu : C'est une vue qui est peut être compris. On pourrait se dire des mots pendant un long temps. Mais on va devoir passer à ce que on m'a demandé de faire. Je pense que nous avons d'autre fois où on pourra se présenter comme vous le faire d'habitude.

Aki : Et qui te dis que l'on va suivre ce que tu demandes ?!

Moekasu : Ho … D'accord. Je peux dire que c'est parce que vous avez pas le choix. un nouveau silence suit, si jusqu'ici la voix de Moekasu avait été tout ce qu'il y a de plus aimable, à cet instant elle était plus sèche et autoritaire Je vous avoir dit plus avant, on ne veut pas vous faire … mal. Je crois que c'est le mot. On veut comprendre. une nouvelle fois le grésillement se fait entendre, suivit au bout d'une dizaine de secondes du même bruit Vous voulez bien suivre ou je dois appeler quelqu'un pour vous aider ? les quintuplés serrent les dents, le regard on ne peut plus noire Je pense que c'est un oui. Très bien, prenez le … chose devant toi. Utilisez votre chakra dessus et juste ça. Rien d'autre. Vous savez que vous pouvez être mal si vous utilisez des techniques.

Bien qu'ils n'en aient pas du tout envie ils obéissent, d'abord chargeant la barre noire indiquée par Moekasu, chacune d'entre elles est reliée à un câble entrant dans une machine. Enfin c'est ce qu'ils supposent vu que pour eux ça ressemble plus à une boîte blanche qu'autre chose. Mais il ne fait aucun doute qu'elle a pour but d’emmagasiner une partie de leur chakra.


Moekasu : Merci, vous avez pris le bon décision. C'est mieux que tout se passe dans le bien. Je suis content que ce soit comme maintenant. Vous pouvez voir une cube long sur le haut à droite. Le truc avec une sol noir. les enfants cherchent du regard et se mettent en simultané en marche vers l'objet cité Montez sur lui. Il va prendre votre … lourd ? ...

Haru : Poids.

Moekasu : Oui poids. Merci Haru. Et votre hauteur.

Tsuyu : Taille du con.

Moekasu : La taille ?

Tsuyu : La taille c'est la hauteur de quelque chose. On l'utilise surtout pour les être vivant. On ne dit pas la taille d'une planche. Mais si on veut utiliser ce mot pour une planche on va dire plutôt : Elle fait quelle taille ? C'est pas totalement juste mais on peut l'utiliser. Tout comme ce n'est pas vraiment le poids mais la masse. Car le poids changes suivant où tu es. Dans l'eau tu fais pas le même poids mais tu as la même passe. La masse est toujours égales contrairement au poids qui varie. La hauteur comme la taille sont des idées de mesures pour se rendre compte, tout comme la masse et le poids. Cependant elles ne sont jamais utilisées pour les mêmes choses. Si tu veux parler de la hauteur d'un arbre, tu parles de hauteur et de taille. Parce qu'il peut faire telle taille mais aussi telle hauteur ...

Tsuyu continue comme ça durant trois bonnes minutes, cherchant tout simplement à perde son interlocuteur. Utilisant à certain moment des thermes qui n'ont pas lieux d'être là. Bien qu'il ne voit pas Moekasu il se délecte du fait qu'il est tout simplement occupé de cramer sa cervelle. Au travers du micro il peuvent entendre le bruit du froissement de papier, le monstre semble tout simplement prendre note de ce que dit l'ado. Il se stoppe cependant au bout d'un certain moment, trop concentré à tenter de comprendre ce qu'il dit il n'avait jusqu'à ce moment pas remarqué le sourire amusé sur son visage. Cependant il ne relève absolument pas tout ceci, laissant le bicolore terminer son monologue qui semble tant l'amuser.
Les mesures et les testes durent pendant quatre bonnes bonnes heures. Moekasu est resté tout le long on ne peut plus courtois mais surtout curieux, ne menaçant plus du tout les ados. Ceux-ci ont bien compris qu'ils ont tout intérêt à écouter.

Moekasu : Nous avons fini. Je vous suis merci d'avoir accepté de suivre mes demandes. une petite trappe s'ouvre sous chacun des miroirs teintés dévoilant une boule brunâtre Une dernière chose, mangez cette friandise … il hésite sur ce mot, comme s'il l'avait appris par cœur sans en comprendre le sens, voyant que tous hésitent Je vous dit pas que c'est très bon, mais il devrait être bon pour vous.

Ils s'avancent tous, prenant la sphère entre leurs doigts. Elle est collante et n'a vraiment pas  l'air appétissante. Ils savent cependant ce qui peut arriver s'ils refusent. C'est Haru qui se lance le premier, dévoilant sa plus belle grimace alors que les autres reniflent la chose. Nagomi tend le bout de sa langue dessus, pris immédiatement d'un goût âcre en bouche. Du bout des dents il croque dedans. Les autres la gobe d'un coup, sachant à quoi s'entendre en entendant le dégoût du verdâtre.

Moekasu : Vous êtes plus chargé ? pour toute réponse il a des toussotement face à ce goût dégelasse et un gros crachat de Nagomi qui vient tout simplement d'expulser cette chose collant à ses dents

Aki : Putain ! C'est quoi ce truc ?! il ignore tout simplement la question

Moekasu : Vous sentez votre source plus taille ? l'interrogation s'ajoute au dégoût sur leurs visages

Eichi : On sent juste nos entrailles se tordent ! de nouvelle notes

Moekasu : Très bien, merci pour vous. un petit bruit attirent l'attention des ados, une gobelet d'eau vient tout simplement de sortir d'une trappe se refermant tout de suite Encore merci, buvez pour être mieux.

Ni une ni deux ils se jettent sur le verre d'eau alors que la porte s'ouvre, laissant pour chacun entrer trois monstres qui les escortent vers leur chambre.

PV & Chakra:

Haru se trouve dans une pièce de grande taille, installé sur l'un des nombreux fauteuils. Voilà dix bonnes minutes qu'il est seul dans cette salle dépourvue de fenêtre, illuminée simplement par une multitude de bougies donnant à l'endroit une impression très chaleureuse bien que plongée dans une certaine pénombre. Une ambiance très agréable bien que inquiétante.
Son attention est attirée par la poignée de porte entrant en mouvement, suivie de la porte laissant apparaître un monstre d'un bon deux mètres de haut, vêtu de tissus somptueux, brodés finement, ça change de ceux qui sont vus en haillons ou encore en armure. Hormis cette peau rouge, cette corne sortant de son front et celle coupée net il ressemble trait pour trait à un homme de très bonne carrure. Enfin, en y regardant un peu de plus proche, les oreilles pointues et les iris oranges montrent également une certaine appartenance. L'ado se sent intimidé, voir une créature dégageant une telle force en étant seul le place dans une situation bien inconfortable. Certes ils est encore loin de Batan, mais il n'a pas à s'en faire d'elle contrairement à ce que son corps lui dit à propos de cette nouvelle arrivée.

Moekasu : Bonjour de nouveau Haru. cette voix à un effet calmant sur l'ado, comprenant que face à lui il a le monstre qui s'est occupé de leurs testes un peu plus tôt, apparemment il n'en a pas encore fini avec eux

Haru : Moekasu je suppose.

Pour toute réponse il a un sourire dévoilant des crocs acérées, ni une ni deux la méfiance se fait plus grande. Il prend place sur une siège non loin de lui tout en gardant tout de même un certaine distance. Est-ce de la peur de la part du monstre ? On pourrait le croire s'il ne continuait pas à aborder cette assurance et ce sourire, mais tout ce qu'il cherche à faire c'est tout simplement mettre son interlocuteur en confiance. Enfin, le mot est peut-être fort, il cherche plus à ne pas la placer dans une situation plus inconfortable qu'elle ne l'est déjà.

Moekasu : C'est moi en effet. Je suis heureux que tu peux enfin voir ce que je suis.

La créature tire vers lui une table une table de salon sur la quelle il pause le carnet, une bougie déjà entamée, une planche noircie par de la suie et un bout de bois taillé en pointe lui aussi couvert de la même noirceur. Il cherche dans ses nombreuses poches, portant au bout de quelques secondes son attention sur Haru.

Moekasu : Désolé, je n'ai pas pris du feu avec. Tu pourrais en faire pour moi ? voyant le regard interrogateur de l'ado il ajoute tout de suite Ho ... Oui, tu peux utiliser ce que tu connais. On ne fera aucun mal pour ça quand on le demande.

Haru : Je comprend pas, il y a des bougies partout, il suffit d'allumer la mèche avec l'une d'entre elle ou d'en prendre une de celles-là.

Moekasu : Oui, c'est la vérité. Mais fait le avec ta source.

Haru se lève, un peu hésitant, comprenant totalement que ce que cherche à faire Moekasu c'est tout simplement jauger ses capacités. Une question s'incruste dans son crâne, il se demande tout simplement s'ils sont les premiers à subirent ce genre d'attention. Si non, ça pourrait expliquer pourquoi les monstres semblent pouvoir rouler à ce point sur les hommes. L'enfant, enfin l'ado tend son indexe gauche vers la mèche sans quitter Moekasu du regard, il insuffle du chakra au bout de celui-ci mais également au creux de son poignet afin d'activer l'héritage de celui qui a été l'un des meilleurs amis de son grand-père. Bien que Shura ait fait beaucoup de mal, dans ce genre d'époque il est ce qui manque le plus.


Une flamme bleue embrase la mèche, malgré la couleur peu commune elle n'en reste pas moins tout aussi lumineuse apportant cependant un côté froid par sa lueur.

Moekasu : C'est le Katon de ce que je sais. Haru hoche la tête en signe d'approbation tout en reprenant sa place Il n'est pas rouge pour vous ? Comme pour les autres autour.

Haru : *Je comprend mieux.* - Si, normalement il l'est mais pas pour moi.

Le monstre ouvre son carnet et tend le bout de bois dans la flamme bleue, il se sert du cordon de soie afin de retrouver la page qu'il recherche avant de prendre quelques notes. C'est étrange, pourquoi utilise-t-il une telle installation alors qu'un pinceau et de l'encre ferait le travail ou encore mieux un simple crayon

Moekasu : Tu sais ce qui est la … source de cette changement ?

Haru : Non.

La réponse est trop rapidement pour sembler être vrai, il faut dire que pour le moment Haru tremble intérieurement comme une feuille. Il arrive à masquer tout ceci, il y a juste son visage tendu qui peut le trahir. Cet état l'empêche d'utiliser ses capacités de manipulation. Pourtant Moekasu ne relève pas la chose, notant juste quelques mots totalement indéchiffrable par l'ado.

Moekasu : Les humains peuvent faire cinq éléments c'est vrai ? Haru hésite à mentir mais la peur en lui le force à hocher de la tête de façon approbative Tu peux me les dire ?

Haru : Eau, terre, feu ...

Moekasu : Non, non. Comme vous vous donnez le nom. il faut quelques secondes pour qu'il comprenne

Haru : Raiton, Doton, Katon, Suiton et Fuuton. il prend de nouvelles notes

Moekasu : Foudre, terre, feu, eau, air. J'ai vrai ? le petiot hoche la tête encore une fois Vous pouvoir en utiliser deux si je pense vrai ?

Durant un instant Haru hésite à dire la vérité. Oui, en temps normal les gens ne peuvent en utiliser que deux mais certain arrivent à maîtriser une combinaison et pour quelques rares cas la limite n'est plus du tout la même. Est-ce que les monstres n'ont pas conscience des doubles affinités ? Ce serait quand même étrange, ça voudrait dire qu'ils ne se sont jamais retrouvé face à elles. Doit-il mentir ? C'est la grande question. Il tranche finalement, pour lui c'est un piège et rien d'autre.

Haru : Certain peuvent en utiliser un troisième, mais je ne les connais pas. Je n'ai jamais étudié cette capacité. un semi mensonge

Moekasu : Trois de la liste ?

Haru : Non, d'autres mais je ne les connais pas.

Moekasu : Haru parle-moi de combien toi tu utilises.

Haru : De... il se rend compte de la stupidité de ce qu'il va dire, ils ont son chakra et ils vient de voir qu'il peut user du Katon, si jamais ils peuvent voir que ses affinités sont autres il se retrouvera rapidement au pied du mur … encore une fois il vaut mieux dire la vérité, on ne sait jamais de ce qu'il pourrait se passer Raiton, Doton, Katon, Fuuton et Suiton. le monstre écarquille les yeux, l'enfant vient tout simplement de lui avouer qu'il est capable d'user de tous les éléments de base chose qui va totalement à l'encontre des connaissance qu'il a sur le monde des humains, il reprend cependant son sang-froid, sortant de ses poches cinq sphère de verre

Moekasu : Je vais demander de tenir ces ronds dans un de tes mains et … utiliser un élément dans tous les ronds comme tu as fait pour la cire.

Haru serre les mâchoires ce qui n'échappe pas du tout au monstre. Le petiot attrape la première sphère, à peine y insuffle-t-il du chakra qu'une petite pierre noire se retrouve emprisonnée en elle. Le verre semble avoir tout simplement absorber le chakra qu'il a libéré pour le stocker et le matérialiser. La seconde elle s’emplit de foudre bleue. Chacune des autres suit, un petit braiser de la même coloris. La suivante elle reste d'apparence identique mais bouge très légèrement dans sa paume montrant que de petits vents circules en elle. Et finalement la dernière se remplis d'une eau bleue cristalline.


Moekasu récupère les sphère au fur et à mesure que Haru les poses. Sur chacune il pose son doigt, insufflant une énergie inconnue de l'ado qui pourtant arrive à la ressentir. Chacun se retrouve gravée de différents caractères. ฤดูใบไม้ผลิ โลก,  ฤดูใบไม้ผลิ ฟ้าผ่า,  ฤดูใบไม้ผลิ ไฟ,   ฤดูใบไม้ผลิ อากาศ et  ฤดูใบไม้ผลิ น้ำ. Sans réfléchir Haru pointe les signes redondant du doigt.

Haru : Qu'est-ce que ça veut dire ? Moekasu semble amusé par la question, dans le bon sens du mot bien sûr, comme si la curiosité naïve de l'enfant face à lui le rendait un peu fier

Moekasu : J'ai cherché pour vous. Je connais ce que veut dire Haru. Le printemps. ฤดูใบไม้ผลิ c'est ton nom dans ma langue. Pour Aki c'est ... il arrache une feuille vierge de son carnet et replonge la pointe de son bout de bois dans la flamme de Haru qui s'approche pour mieux voir ฤดูใบไม้ร่วง pour l'automne. Pour Tsuyu c'est ça, ฤดูฝน pour la saison des pluies. Eichi est plus comme ici ภูมิปัญญา, pour la sagesse. Et เงียบสงบ ...

Haru : Pour Nagomi pour calme. la voix de Haru est enjouée, il se reprend immédiatement, se rendant compte ce qu'il se passe, reprenant un visage le plus sérieux possible tout en reposant son postérieur sur son siège

Moekasu : Si tu le voudrais je peux par le futur t'apprendre d'autre mot.

Haru : Et pourquoi je voudrais ?!

Moekasu : Ho … Je pense que tu as l'air curieux sur ça. Tu ne demanderais pas si tu l'être pas. Et tu nous apprends, je peux donner aussi.

Haru : On le fait parce qu'on a pas le choix ! Vous voulez juste apprendre pour mieux tuer les humains ! Je veux rien apprendre de vous ! la peur et la colère montent en flèche, rendant la voix de Haru tremblante

Moekasu : Calme, clame Haru. On veut connaître pas plus. Haru se lève, le visage rouge

Haru : Vous avez éradiqué une grande partie des humains ! Vous êtes arrivés ici pour tuer tout le monde et pour prendre ce qui n'est pas à vous ! cette fois-ci c'est Moekasu qui se lève d'un bond renversant la table sur son passage, redisant le corps de l'ado par la peur

Moekasu : On a été enfermé ! On est juste libre maintenant ! Tu ne pouvoir pas rep ...

Il se stoppe dans ses paroles, son visage passe de sourcils froncés face à une injustice, ou en tout cas jugée comme telle par lui, à une bouche entrouverte par la surprise. La peur a été tellement grande pour Haru que quelque chose s'est déverrouillé en lui, ou plutôt quelqu'un vient de prendre le contrôle. Un aura tout autre s'échappe du petiot verdâtre, quelque chose de beaucoup plus intimidant. Son regard est celui d'une autre personne, ce qui se dégage de son corps est tel que des bruits se font directement entendre dans le couloir. Haru n'est plus du tout là, c'est étrange à dire mais c'est quelque chose qui se voit.

การปรองดอง : ฉันเตือนคุณถ้าคุณสัมผัสเส้นผมของเด็ก ๆ ฉันจะฆ่าคุณ. ฉันรู้จักคุณตอนเป็นเด็ก การเผาไหม้ถ่านหิน. ตอนนี้ฉันเรียกคุณว่าผู้พิทักษ์ลูก ๆ ของฉัน. หากทำอันตรายกับพวกเขาคุณรู้ว่าจะเกิดอะไรขึ้นกับคุณและลูกของคุณ. อย่าคุกคามคิทสึเนะ.

Un nouvel aura explose, venant de la chambre où les quatre autres quintuplés se trouve. L'air devient durant quelques secondes difficiles à respirer sur une centaine de mètres à la ronde de cette fameuse pièce. Tous peuvent le ressentir, le chakra naturel ambiant vient d'en prendre un sacré coup. Le visage de Moekasu se déconfit

การปรองดอง : เราเพิ่งเชื่อมโยงชีวิตของลูกชายกับลูกของเรา. ฉัน การปรองดอง. อย่าโกรธโยไคที่แข็งแกร่งกว่าที่คุณเคยเป็น. บอกคุณ บอกพวกเขาว่าถ้าคุณทำร้ายพวกเขา อินาริ จะตื่นขึ้นมา. เด็กพวกนี้เก่ง. พวกเขาไม่รู้, แต่นั่นเป็นหนึ่งในสัตว์ประหลาด. คุณฆ่าคิทสึเนส. จัดทำบทบัญญัติ, มิฉะนั้นลูกของคุณจะตาย. พวกเขาสามารถเป็นเพื่อนกันได้. l'état de Moekasu est passé du déconfit à l'étonnement et passant par la peur pour terminer sur une sorte de vénération อย่ากระตุ้นความโกรธของ อินาริ.

Moekasu : การปรองดอง เป็นคุณนั้นเอง ?

Haru ou plutôt l'entité en lui s'avance vers le monstre, la taille de l'ado lui permet de pouvoir fixer Moekasu dans les yeux tout en restant debout, il pose une mail sur le tête du démon, couvrant de sa paume la corne coupée

การปรองดอง: ฉันเอง, ถ่านไหม้ขนาดเล็ก. ฉันขอร้องคุณอย่าปล่อยให้ลูกของฉันต้องตาย.

Moekasu : ฉันไม่มีทางเลือก. คุณทำให้ลูกของฉันตกอยู่ในความเสี่ยง. les yeux de Moekasu deviennent noire malgré la couleur de braise qu'il posséde de bases, ses mâchoires se crispent พวกเขามีพรของฉัน.

การปรองดอง: ขอบคุณเจ้าชายปีศาจ

À peine ces paroles terminées que Haru tombe tout simplement inconscient, rattrapé immédiatement par Moekasu qui le porte dans ses bras. D'un pas rapide il se dirige vers la sortie, les portes s'ouvre sans qu'il n'est besoin d'utiliser ses membres, une puissance que les quintuplés n'ont jamais vu se dégage de lui, pratiquement égale à celle qu'ils avaient pu ressentir de Batan. Des monstres ouvrent leurs gueules en le voyant mais il les stoppe d'un regard inquisiteur.

Moekasu : ตรวจสอบให้แน่ใจว่าไม่มีใครเข้าไปในห้องของพวกเขา

Un ouvre de nouveau ses mâchoires, se refermant tout aussi vite sous le regard sévère du Oni.

Moekasu : พาลูกชายของฉันไปที่ห้อง

Le monstre avance dans les couloirs du palais à une vitesse folle. On peut lire une certaine crainte dans son regard. Le plus étrange c'est qu'il porte le petit humain comme s'il était son fils, le serrant dans ses bras avec une certaine affection. Au bout de trois bonnes minutes de marche intensive il arrive enfin au niveau de la porte des quintuplés. Autour se trouve une ordre de monstre, cherchant tant bien que mal à abattre le bois. Ils frappent à grand coup de poing, de masse ou encore de hache sans pouvoir ne serait-ce que faire une égratignure dessus.

เจ้าหญิงของฉัน. แม้แต่หน้าต่างก็ปิด

Un enfant rouge comme Moekasu arrive, les cheveux blanc, contrairement à son père lui porte bel et bien deux cornes en parfait état. Ni une ni deux le monstre se penche vers son fils, toujours Haru dans ses bras. Passant une mains dans les cheveux du petiot diablotin. Il ignore tout simplement les gardes.

Moekasu : คุณรู้สึกอย่างไร ?

Moegara : ดี, พ่อ. ทำไม ?

Moekasu n'a pas le temps de répondre à son fils que quatre bruits sourds se font entendre, aucun doute, c'est le reste des quintuplés qui viennent de perdre connaissance. Il se tourne vers les gardes, inquiet.

Moekasu : ไปให้พ้น

Moegara : พ่อ, เกิดอะไรขึ้น ?

Cette fois-ci c'est son fils qu'ils ignorent alors que les autres monstres s'en vont sans demander leur reste. Contrairement à eux Moekasu ouvre la porte sans difficulté, découvrant dans celle-ci quatre corps au sol, semblant dormir. Il s'engouffre dans la chambre suivit de son fils, fermant la porte à clef sous leur passage.

Moegara : พ่อ !

Moekasu : ฉันจะอธิบายลูกชายของฉันให้คุณฟัง. ช่วยวางพวกเขาบนเตียง.

Bien qu’obéissant le petiot se demande ce qu'il se passe. C'est en tirant Aki sans trop de difficulté qu'il reprend parole.

Moegara : พ่อ ! หมายความว่าอย่างไร ? Moekasu pose délicatement Tsuyu au sol avant de s'avancer son fils portant toujours le blondinet comme s'il ne pesait rien, le père prend le visage de son fils entre ses mains, une larme au coin des yeux

Moekasu : ฉันจะอธิบายทุกอย่างให้คุณฟังในภายหลัง. ในขณะนี้, คุณทำตามที่ฉันพูด

Sans trop comprendre pourquoi, d'instinct même, le père écarte l'encolure de la tenue de son fils, dévoilant une peau rouge. Il écarte un peu plus, dévoilant le ventre de son enfant, autour du nombril il porte une forme blanche en forme de lotus. Moekasu se mord l'intérieur des lèvres, il disait donc vrai.

Moegara : นั่นคืออะไร ?! la voix de l'enfant est tremblante

Moekasu : ไม่ต้องกังวลไป. ฉันจะอธิบายให้คุณฟัง. ช่วยฉันก่อน.

Tous deux disposent les ados sur leur lit, dans une délicatesse que l'on pourrait pas soupçonner chez les monstres. Moekasu porte son attention en premier sur Haru encore endormi, bien que ce soit Nagomi déposé en dernier par le père démon. Il pose une main sur le dos de l'une de celles du vêrdatre, Moegara réagit immédiatement, attrapant le bras de son père.

Moegara : คุณมันบ้า? le père sourit à son enfant, il se veut rassurant mais ne l'est pas vraiment มันคือมนุษย์ !

Moekasu : คุณจะเข้าใจ

Le démon charge sa paume de l’énergie des Oni, quand celle-ci s'éloigne de la main de l'ado celui-ci est marqué des symboles อวยพร au niveau du dos de celle-ci. Les quatre autres y passent également toujours sur l'oeil étonné du seul petiot encore conscient.

Moegara : ดอกบัวอยู่กับพวกเขาไหม ? voyant le regard fuyant de son père il enchaîne คุณเพียงแค่อวยพรมนุษย์?

Moekasu : ใจเย็น ๆ ! l'enfant se calme sous la voix autoritaire du père ฉันขอโทษพ่อ

PV & Chakra:

Voilà quelques heures que le petit diablotin attend, assis sur la table de la chambre là où normalement les quintuplés mangent. Enfin, il n'a pas vraiment juste le cul sur le bois mais la totalité de son dos également laissant tomber sa tête en arrière observant le monde dans le mauvais sens. Une masse de métal faisant sa taille est posée à côté de lui, prête à être attrapée. Kanabo serait un nom plus exacte pour cette arme, le manche est recouvert d'un tissu pourpre brodé d'or. Un peu plus bas tout simplement un métal noir à nu et finalement les deux tiers du tout recouvert de nombreux picots. Aucun doute que recevoir un coup d'un tel bâton risque très fortement de déformer la face de toute personne croisant son chemin. Les iris oranges de l'Oni brille dans la pénombre de la chambre, le blanc de ses yeux du petiot sont noir, accentuant cet effet. C'est d'ailleurs l'une des seules choses visible de sa part, enfin, hormis ses cheveux blancs pendant dans le vide. Son torse rouge lui est nu par contre pour bas l'ado porte tout simplement une sorte de pagne. Bien qu'un simple bout de tissu, celui-ci est tout simplement d'une très bonne qualité, brodé élégamment mais de fils blancs. Haru lui verrait la ressemble avec les signes tracés par Moekasu. Les yeux de Moegara ne quittent pas les lits, allant de l'un à l'autre cherchant à voir le quel va se réveiller le premier.
Comme tout jeune ado, au bout de tout ce laps de temps ils commencent vraiment à s'emmerder. Au début il se relevait à chaque fois que l'un des quintuplés avait le sommeil un peu agité, maintenant il ne fait que jeter un rapide coup d'oeil. Une question le taraude tout de même, pourquoi est-ce que son père a marqué ces humains. D'accord, de ce qu'il a expliqué ça a un certain rapport sur le fait que ceux qui se trouvent dans la même pièce que lui sont eux aussi en partie des Yokaïs. Il n'a pas pu en savoir plus, aucun doute que son père cache des choses. Le soucis est dans le fait qu'ils ne sont déjà pas du tout apprécié par son grand-père … Autant dire qu'avec ça, ça risque fort de gueuler encore un peu plus. Car oui, ce n'est pas parce que l'on est un monstre qu'il peut pas y avoir des soucis familiaux.
Son attention fini tout de même par être attirée par les mouvements de Nagomi qui semble tout doucement sortir de sa torpeur. C'est en tout cas le seul à bouger autant depuis le début. Le petiot rouge saute avec une grande souplesse mais à la fois une lourdeur quand il atterrit au sol. De sa main droite il attrape la masse sans aucune difficulté. C'est très étrange, bien qu'il soit plutôt bien bâti on pourrait penser qu'il aurait du mal à la tenir. De ses deux mains il l'attache tout simplement au niveau de son dos à l'aide de la sangle prenant une partie de son tronc. L'arme frôle pratiquement le sol.
Moegara s'approche doucement du petit brun, il hésite durant un instant à porter ses mains sur le manche, après tout il fait tout de même partie des ados ayant tués de membres de son camp … Enfin, si seulement les monstres ne faisaient vraiment qu'un. L'Oni se pause tout simplement sur le bout du lit de Nagomi, la masse dans le vide et lui assis en tailleur aux pieds de Nago'.
Vu d'ici, aucun doute, il commence vraiment à se réveiller. À cet endroit le petit démon n'est plus aussi caché dans l'obscurité, éclairé par les trois bougies posées sur la table de nuit. Histoire d'accélérer le processus, il secoue l'ado en empoignant l'un de ses mollets à travers des draps.

Nagomi : How ! le brunâtre sursaute par surprise, les yeux encore semi-clos

Moegara : Bienvenue dans le vrai monde humain.

Nagomi : T'es qui ?! ni une ni deux Nagomi se redresse tout en reculant, par réflexe cherchant ses armes qui bien sûr ne sont pas présente, le dos collé à la tête du lit

Moegara : Je suis le fils de Moekasu, c'est lui qui a fait vos testes ce matin. De ce que j'ai compris on est cousin.

Nagomi : Mais qu'est-ce que tu racontes ? bien que la voix de l'ado est encore clairement endormie, un peu brisée par la fatiguée son visage est cependant on ne peut plus sérieux en totale contradiction avec son timbre

Moegara : Si tu veux jouer au stupide, pas de soucis. Je peux t'expliquer. le rougeâtre pointe de ses ongles noirs la queues de Nagomi De près ou de loin tu es un Kitsune. Je suis un Oni. Ce qui nous rapproches c'est tout simplement la source. Nagomi hésite lui aussi durant un instant, doit-il envoyer ou non un bout de terre, rapidement il se ravise, c'est la pire des idées

Nagomi : La source ?

Moegara : How, je vois. Vous êtes encore plus ignare que je ne le pensais. il soupire un bon coup, posant un pied à terre montrant clairement qu'il ne compte pas rester su place Maintenant que l'un de vous est réveillé je n'ai plus à rester ici à attendre. Quand tes frères seront réveillé toque toque quatre fois à la porte. le petit brun saute lui aussi du lit, cherchant à faire face à l'Oni mais celui-ci est déjà proche de la porte de la sortie, il est rapide le bougre

Nagomi : Tu devais nous surveiller pourquoi ?

Moegara : Je devais juste passer un mot de la part de mon père, après l'entretient avec ton frère ... il pointe du nez le nez de Haru ... il a été décidé que vous allez être testé physiquement. C'est moi qui en est la charge. un sourire en coin de l'ado rouge avant qu'il ne quitte la pièce en toquant cinq fois sur la porte, Nagomi n'a pas le temps de répondre que le visiteur n'est déjà plus là

PV & Chakra:

Il a fallut pas mal de temps pour que tout le monde soit de nouveau sur pied, c'est Haru qui a pris le plus de temps, ne s'étant réveillé il y a à peine trois heures. Comme l'avait demandé l'ado Oni ils avaient toqué à la porte pour prévenir, de là un somptueux repas leurs avait été servi. Les jours passés ici et le ventre tiraillant ils sont directement passé à table, si jamais les monstres voulaient les empoisonner ça fait bien longtemps qu'ils l'auraient fait. Une bonne heure après avoir bien remplis chacun leurs estomacs on est venu les chercher afin de subir le fameux teste Moegara avait parlé. En court de route chacun se posent quelques questions, si pour Haru c'est sur le camp de Naru-Akan en générale, pour Aki c'est plus vers une personne. Peut-être qu'aujourd'hui, vu qu'il est un peu plus grand Hana le verrait un peu différemment … Pour ça, il faudrait qu'ils puissent retourner dans la grotte. Nagomi lui est plus curieux de ce qu'il voit, si on peut reconnaître l'architecture des humains, au niveau de l'arène qui s'offrent maintenant à leurs yeux s'en est une toute autre. Aucun doute qu'avant l’arrivée des intrus c'est endroit était une magnifique court fleurie, des bout de pot portant encore de la peinture le montre bien, sans parler de ces bouts de pelouse encore intacte et de cette fontaine à l'eau croupissante au centre. Tsuyu lui est plus absorbé sur le pourquoi Pando les a envoyé ici … Enfin, il ne l'a pas fait directement mais où avait la tête cette force quand il les a posé dans une zone plus que rouge ? Et enfin Eichi, passant sa langue sur les dents, le corps perlant de sueur. Il tremble même un peu, aucun doute que son corps quémande quelque chose en cet instant. Un verre très certainement.
Tout autour de cette arène improvisée se trouvent des monstres, ils reconnaissent Moekasu et son fils à ses côtés. Un autre Oni se trouve derrière eux, la différence de taille est impressionnante, donnant impression que le père et l'enfant sont juste des créatures rachitiques pour cette race. Ce ne sont cependant pas les seuls, cependant hormis une masse noir portant un masque blanc il n'y a que des gardes, c'est en tout cas ce à quoi ils ressemblent.

Aaaaavance ! il attrape par le bras Eichi, le tirant vers une pierre où sont posées plusieurs armes, Moegara saute de son estrade de ruine, tombant lourdement sur le sol, son pied droit brises une pierre au passage, soulevant un nuage de poussière et de débris

Moekasu : หยุด ! le ton est claire, c'est un ordre ฉันต้องบอกคุณว่าฉันพูดอะไร? le monstre tenant par le bras Eichi le relâche au grand soulagement de chacun des enfants, ils soufflent doucement, discrètement, ici mise à part subir ils n'ont pas d'autre choix et voir ce monstre semblant prendre leurs défenses les rassure, il fait signe de tête à son fils ayant un bien meilleur confort dans la langue humaine

Moegara : Comme je te l'ai dit. il pointe de son index à l'ongle noir Nagomi Je vais vous affronter un par un, oui c'est totalement pour voir ce d'on vous êtes capable et mon père a pour ça choisi, bien que je ne sois pas du tout d'accord de donner ce choix aux humains, de vous offrir quelque chose que vous voulez dans la mesure où c'est possible. C'est pour vous pousser à donner le meilleur de vous même. cette fois-ci il pointe son nez vers le monstre qui a tiré le petit blanc ให้พวกเขาเลือก ! Vous avez le choix si qui vient me rejoindre en premier.

Eichi : J'vais m'fair ce p'tit con. il ne sourit pas, bien au contraire, chose plutôt étrange pour lui, avant que ses frères n'aient le temps de répondre ils bondit au-dessus de la pierre en bousculant au passage le monstre, qui ne bouge cependant pas d'un poil, attrapant au passage ses affaires

Moegara : Ne t'y habitues pas de trop, dès que tu vas quitter ce sol on reprendra tes biens ! Et au fait, use de ta source comme bon te semble. T'en auras besoin ! Et pour vous les mauviettes, si vous intervenez on coupe la tête à l'un au hasard. Mais vous en faites pas, ce n'est pas à mort, ni pour vous écorcher. Juste jauger. le ton est donné, Aki et Tsuyu serrent les dents alors que Haru lui croise les doigts, Nagomi quand à lui c'est comme toujours une sacré neutralité

À peine Eichi pause le pied dans l'arène finissant d'enfiler son armure que l'Oni bondit dans une vitesse ahurissant, chacun de ses pas laisse sur son passage un pierre fêlée ou alors une marque profonde de ses pieds plats et nus. En un clin d'oeil il se retrouve au niveau d'Eichi, qui semble avoir pris une certaine assurance en un instant. Si jusqu'ici Moegara n'avait aucun doute sur le fait de pouvoir prendre l'enfant de vitesse, s'en est tout autre maintenant, en voyant avec quelle aisance il se met en mouvement il est pratiquement certain que lui qui était si lent jusque là est maintenant pratiquement son égale. Le petiot à la peau rouge en a même du mal à cacher sa surprise. Cependant, il ne perd pas le nord, attrapant de ses deux mains le manche de son Kanabo, arme de prédilection des Oni, il abat celle-ci là où se trouvait un instant plus tôt le petit humain. Dans un bruit de fracas celle-ci s’écrase sous la vitesse de l'attaque sur une dalle, explosant celle-ci en mille morceau. Son père l'avait prévenu, l'homme a tendance à fuir et non à affronter directement et c'est encore plus vrai avec ces humains.
Alors qu'Eichi se sent en sécurité sur son promontoire, non loin du père de son adversaire qui d'ailleurs a fait quelques pas en arrières par sécurité et les gardes quelques en avant tout en se tenant prêt à intervenir. Mais pour revenir au fait que le petit blanc a l'impression de ne plus pouvoir être visé par l'ombre rouge, celle-ci s'envole vers lui dans une vitesse folle, juste avant que le gourdin de taille adolescente ne frappe le sol, arrachant une partie de la pierre qui soutenait le quintuplé. Il se réceptionne avec un peu de difficulté au sol, son lieu d'atterrissage n'a pas été le mieux calculé, faute de temps il a fallu faire avec. Il manque de tomber quand ses pieds touches les dalles brisées. Moindre de ses soucis, car encore une fois l'Oni fuse vers lui mais il ne peut rien y faire, frappé de plein fouet par les picots sur son flanc, l'envoyant valser au centre de l'arène. Et il en va de même pour les autres ne se trouvant pas sur l'arène.

Nagomi : Eichi !

Alors que Nagomi fait un pas en avant, prêt à lui aussi entrer en action, un monstre l’attrape et le plaque tout simplement au sol sans aucune difficulté.

Moegara a s'en doute pris un peu trop confiance, il reste là à regarder le petit blanc se débattre pour se relever. Ça l'amuse tellement qu'il n'a pas vu que ce n'est qu'un jeu d'acteur, certes le filet de sang s'écoulant de la bouche d'Eichi montre bien qu'il a pris un sacré coup mais il a profité de cet état pour cacher la main avec la quelle il signe les mudras.


Je pense bien que c'est à cet instant que Moegara a compris réellement de quoi sont capables les humains. Jusqu'ici il ne s'était jamais retrouvé confronté à un combattant de cette race, il les avait toujours pris pour une sous-race. Mais en voyant cet ado qu'il avait tant sous estimer prendre le pas sur la suite des choses. Pensant encore prendre de vitesse le petit blanc il a frapper de toutes ses forces vers lui, cependant sa lourde arme s'est rapidement retrouvée déviée par des courants qui n'étaient pas là un instant plus tôt. La maîtrise élémentaire d'on Haru avait fait preuve est vraiment qu'un millième de ce qu'ils sont capables. Dans un mouvement lourd et rapide sa masse frôle bien l'enfant, le touchant, ou en tout cas c'est ce qu'il croit, avant qu'elle ne l'emporte dans le mouvement. N'ayant même pas le temps de réagir qu'il se voit obligé de retenir sa respiration. Bloqué dans ce qui semble être une bulle d'eau vaseuse et mal odorante. Au travers de celle-ci, bien que ça lui pique les yeux, il voit bien toujours ce cyclone ayant détourner son arme, mais également une silhouette à ses côté. La foudre qui coule dans son arme, qu'il vient d'insuffler, lui pique un peu le corps, lui rappelant qu'il ne peut rester trop longtemps sans respirer. Un premier coup frappe la paroi de cette prison, ce n'est que de l'eau et pourtant il aurait l'impression que celle-ci a une véritable masse capable de stopper toute attaque. Impossible de savoir ce qu'il se passe autour de lui, il continue à frapper, un deuxième coup, il sent que ça flanche. Au troisième il perce la bulle retournant dans le combat, son corps ruisselle d'eau nauséabonde. L'enfant serre les crocs tout en les dévoilant sur le côté droit de sa bouche, ses sourcils sont froncés et son regard plus braise qu'il ne pourrait jamais l'être.
Les quintuplés plaqués au sol tentent bien de lancer quelques cris d'encouragement, mais le genoux posés sur leur dos, écrasant leurs poumons, rend déjà la respiration suffisamment difficile comme ça.

Moegara : Sale humain ! ลูกชายของผู้หญิงเลว, ฉันจะฆ่าคุณ ! le regard de son père fait immédiatement redescendre cette colère


Le combat fait rage, ça ne fait aucun doute, enfin, pour encore quelques instants celui-ci reste encore calme. Eichi lui charge tout simplement des batteries, pendant que l'Oni s'en prend tout simplement à son clone, qui n'a même pas eu le temps de rouspéter qu'il disparaît dans un nuage de fumée. Le petit rouge semble commencer à en avoir marre de tout ceci, sentant très bien qu'il perd pour l'instant pied dans le combat alors qu'il pensait que tout le long il serait tout simplement maître de celui-ci. En arrivant au près du cyclone ses cheveux battent le vent tout comme sa masse qu'il dresse pour pourfendre cette protection. Il se redit cependant un instant, sentant une nouvelle face face à lui. Mais son courage parle, ou plutôt sa fierté face à ses paires. Perdre face à un humain ou encore fuir serait tout simplement la pire chose à faire. Une nouvelle fois dans un mouvement que l'on ne pourrait pas croire capable son corps il fend le cyclone, touchant à nouveau sa cible. Si ça continue comme ça, ça va tout simplement durer des heures, fort heureusement pour lui il peut puiser que dans ses muscles pour frapper contrairement à l'être face à lui.
Cependant, alors qu'il lève une nouvelle fois sa masse, un immense courant d'air vient chasser son corps, le frappant de pleine face tout en lui arrachant un cris, n'empêchant cependant pas son arme de toucher sa cible qui elle aussi fait part de sa douleur.
Les deux tignasses blanches se font face, cependant l'Oni ne reconnaît pas celui avec le quel il a commencé le combat, il y a quelque chose de changé en lui mais surtout sur lui. Ces écailles vaporeuses parcourant son corps, ce regard n'ayant plus rien à voir mais surtout cette force avec la quelle il frappe une nouvelle fois. Au total c'est quatre coup invisible qui viennent le faucher, au niveau du menton et de l'arrière de la tête, le choc est tel que ça lui provoque immédiatement une migraine. Vu que la force est égale de chaque côté il s'est tout simplement pris de plein front l'attaque sans que son corps ne puisse se mouvoir pour mieux accepter le choc. Et c'est à l'identique qu'il encaisse au niveau du torse. Il commence à voir rouge, le combat est fait pour durer jusqu'à ce que l'un tombe au sol et jamais au grand jamais il n'a pu imaginer que ce serait lui !


Eichi lance une nouvelle fois la même salve, frappant cette fois-ci les deux tempes de son adversaire tout en s'éloignant en profitant d'un courant d'air qu'il vient de créer. Durant un instant l'Oni franche, son corps est tout simplement à bout, il saigne de partout mais pourtant fend l'air vers l'ado et fracasse sur lui sa masse. L'envoyant dans une gerbe de sang au sol, les yeux des autres quintuplés s'écarquillent en entendant le bruit sourd, mais la pression sur leurs poumons les empêchent toujours de pouvoir parler.


Ils tentent bien de se débattre pour venir en aide à leur frère en voyant la masse de nouveau se soulever, marquant sans aucun doute une trahison sur ce qui avait été promis. Leurs forces est cependant trop faible par rapport à leurs tortionnaires. L'aide vient tout de même. En un éclaire Moekasu attrape l'arme de son fils et l'envoie avec une telle force que celle-ci fuse en ligne droite, s'enfonçant de moité dans l'un des murs provoquant au passage un éboulis de pierres. Son regard se plante dans celui de Moegara, sombre à tel point qu'en un instant celui-ci se recroqueville, déjà par la douleur du combat mais également par le poids qui vient de lui être imposé. D'un jeté de jambe le monstre s'écarte avec son fils qu'il tient par le pagne.

Moekasu : ถ้าคุณฆ่าเขาเราก็ตาย !

L'ado à la peau rouge murmure quelques paroles incompréhensible son corps est tellement meurtri qu'il a du mal à garder la tête froide. La créature au masque s'approche immédiatement d'Eichi, l'englobant durant quelques minutes dans une substance noirâtre dont il finit par sortir en la perçant, son corps est soigné de la tête au pied. Comme si rien ne s'était passé. Une fois l'humain libre le monstre fait de même avec le fils du prince déchu.

L'ado à la peau rouge se relève comme si de rien n'était, arme à la main.

Moegara : Au suivant อึของมนุษย์ !

Les combats continuèrent, avec toujours plus de hargne du côté des quintuplés à chaque fois que l'un d'eux perdait. Le seul a avoir obtenu une victoire c'est Nagomi, étant passé en troisième position. De justesse. C'est d'ailleurs le maître mot des ces affrontements. Les victoires de l'Oni avaient toujours été sur le fil. Si les humains n'avaient gagné qu'une faveur, les monstres eux étaient ressorti avec un plus grand savoir sur les arts possibles chez la race qu'ils écrasent. C'est à la fin que le petiot gagnant pris parole.

Nagomi : Repartez chez vous ! c'est le souhait de l'ado

Moekasu : On l'a dit, que dans la possible.

Nagomi : Laissez-nous partir !

Il a hésité à demander à ce qu'ils laissent les humains en paix, mais il le savait d'avance que c'était une demande perdue, tout comme celle qu'il venait de faire. En voyant le mouvement de la tête du père Oni en signe de négation il reprend immédiatement en levant le poing marqué par la bénédiction.

Nagomi : Dans ce cas ! Dis ... Nagomi stoppe sa phrase, cherchant ses mots, Moekasu semble soulagé mais aucun des quintuplés ne comprend pourquoi Expli ... le brunâtre semble totalement perdu, comme s'il avait eu un idée de question qui est impossible à présent de saisir Laissez nous nous déplacer comme on le veut ! l'homme rouge réfléchi durant quelques instants avant de donner sa réponse

Moekasu : D'accord. Mais que dans les pans du ... il regarde son fils maintenant rétabli qui chuchote un mot les murs du palais. Et en plus … lasse de cette situation l'ado monstre prend la parole Ce que mon père veut dire, c'est que dès que vous quitterez votre chambre, une garde sera avec vous. Certains endroit vous serons interdit mais vous allez pouvoir bouger comme vous le voulez tout en restant sous la surveillance d'une garde.

Moekasu : Et de mon fils. les iris orangées encadrées de noir de l'enfant se tournent vers son père, interrogateur mais celui-ci le fait rapidement taire d'un simple mouvement de tête มาเป็นเพื่อนเพื่อหาข้อมูลเพิ่มเติม !

Moegara : ฉันไม่อยากยุ่งกับพวกเขา!

Moekasu : คุณต้องการให้อาณาจักรเจริญรุ่งเรืองหรือไม่?

Moegara : ฉันสงสัยว่าปู่จะคิดยังไงกับมัน !

Un revers de main part de la Moekasu, frappant le crâne de son fils avec une force incroyable. L'ado rouge vole dans les airs, atterrissant douloureusement au niveau du sol. Fort heureusement pour lui c'est sur un bout de pelouse que son visage a atterrit. Moegara décolle son fascié de la terre tout en remarquant que celui-ci a laissé une trace, s'il l'avait pu son teint serait devenu rouge de honte. Être traité de la sorte face à des humains, lui fils de prince frappé par son père face aux มนุษย์, il serre les dent tout en se redescend. Son air le trahi pourtant, il cherche à paraître humble mais la totalité de son être crie à l'humiliation.

Tsuyu : Celle là tu ne l'auras pas volée monstre !

Sous ces paroles l'Oni s'élance vers celui qu'il considère comme une merde, masse la première. Le coup entre en contact avec quelque chose, un corps bien plus dur qu'il ne l'aurait pensé. En levant les yeux il voit son arme meurtrir le corps de l'un des siens. Pourquoi s'est-il interposé ? Il y a vraiment quelque chose qui cloche ! Se dit-il.

Moegara : นั่นหมายความว่าอย่างไร ?

Moekasu : สิ่งที่คุณต้องไม่ทำ !

Moegara : มันเป็นแค่มนุษย์ ! il crache à terre

Moekasu : ใช่ แต่ชีวิตของคุณขึ้นอยู่กับมัน ! l'enfant crache de nouveau à terre avant de s'en aller dignement possible, l'adulte se tourne vers les quintuplés

Moekasu : Reposez vous bon.

PV & Chakra:

La demande de Nagomi a été très rapidement revue à la baisse, sa requête acceptée s'était transformée en trois pièces dans les quelles ils pouvaient se mouvoir sans aucun soucis et le toit de la partie du bâtiment où ils se trouvent. Moekasu avait eu un peu de mal à dévoiler cette nouvelle aux ados, il avait eu l'air gêné. Par pour eux cependant mais tout simplement pour la confiance qu'il avait réussi à mettre en place, enfin si on peut la nommer de cette façon. Il a tout simplement l'impression de construire sur un marécage sans avoir le temps de mettre en place de bonnes fondations. Mais le monstre ne s'avoue cependant pas vaincu, c'est d'ailleurs dans ce sens qu'il a imposer à son fils de faire partie de la garde rapprochée veillant à ce qu'ils ne s'échappent pas. Il avait espoir qu'un certain lien puisse se mettre en place. Malheureusement, c'est plus une très mauvaise entente qu'autre chose. Allant jusqu'à devoir demander à Moegara de ne plus approcher les ados, à son grand plaisir. Des tensions grandissaient au fur et à mesure. Mais l'Oni n'oublie pas ce qu'il lui a été dit. Il n'a pas d'autre choix que de tenir ces humains dans la meilleure des formes possibles.
Durant tout ce laps de temps les expériences ont continuées, d'abord dans le palais et ensuite dans une demeure à l'écart. Le fait d'avoir des humains restant vivant autant de temps provoquait de véritable tension dans le palais. Des monstres voulaient tout simplement les tuer, bien qu'en mauvaise posture Moekasu arrivait tout de même a imposer son choix. Il a bien été mis à l'écart, entachant un peu plus son image. Si jusqu'ici il était tout simplement brimé, c'est arrivé jusqu'à se voir roulé dans la boue publiquement. En temps normal il aurait rapidement mis terme à tout ceci en ôtant la vie à ses cobayes malgré la raretés de ceux-ci. Le soucis c'est que cette fois-ci c'est juste totalement impossible. Toucher l'un des cheveux de ceux-ci est bien trop dangereux.
C'est au bout du mois en court que tout le monde a trouvé son compte, le dernier matin l'Oni a été personnellement été cherché les ados. Ce n'est pas quelques choses de courant mais il voulait pouvoir leurs poser une question de façon la plus discrète possible. Moegara l'accompagnait à ce moment, surpris tout comme son père de trouver les lieux vides. Connaissant les habitudes des quintuplés à force il a immédiatement été voir sur le toit, endroit où ils avaient pour habitude de placer les matelas afin de dormir à la belle étoile. L’installation pour passer la nuit se trouvait bien là mais aucune trace des petiots.